Traque, Approche & Camouflage

Nous nous fondons dans l'environnement local, tels des caméléons (végétation, imitation de larves et d'insectes, simulation du rut de la truite...), et dotés d'un équipement de camouflage à la pointe de la science (inspiré de l'art de la guerre Ninja) afin de nous dissumuler de ces prédateurs d'eau douce.

Pescador en mode "Larve" pour leurrer
la truite

Pescador revêtant sa tenue de combat

Nous avons développé au fil des années une technique au sommet des capacités humaines en termes d'approche, d'affût, de camouflage et de frappe, dans la traque de la truite sauvage.

Cette expertise élitiste nous permet de capturer des spécimens que très peu de pêcheurs ont eu l'opportunité ou plutôt la chance d'aperçevoir.

Ces carnassiers d'une combativité légendaire demandent une patience et des heures d'approches considérables avant d'avoir la chance de les capturer dans leur milieu naturel.

De redoutables spécimens capturés en 2009 (avec bas de ligne acier et hameçon triple)

Une fois ferrée, le combat entre l'homme et la bête s'engage pour de longues minutes, mettant au défi nos ressources physiques et mentales, pouvant aller jusqu'à l'épuisement, la victoire ou l'abandon.

Les statistiques démontrent qu'une truite sur trois échappe aux coups de gaule des Pescadors, en causant parfois des dégats matériels (gaule endommagée voir amputée) et psychologiques irréversibles (dû principalement au sentiment de perte et d'injustice après un si long combat).

Les photos ci-contre attestent de la violence de ces combats.

Visages marqués et détresse des Pescadors après
de longs combats acharnés

Tout le mal être dans le regard du Pescador après
un violent combat contre la bête.

Il est vital après avoir fourni une telle dépense d'énergie, de bien veiller à s'alimenter et à s'hydrater car d'autres combats intenses nous attendent dans ces contrées ou le moindre faux pas peut-être fatal.

Pescador en mode récupération

Détresse alimentaire et comportement boulimique

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